En été et en automne des sources peuvent tarir temporairement. La meilleure saison pour faire la cartographie est donc l'hiver ou bien l'automne. Dans la montagne, le moment convenant peut changer en accord avec l'altitude et l'exposition. A ce temps, les régions des sources sont faciles à trouver dans le terrain, comme la végétation aux environs (surtout des plantes herbacées vivaces) est pressée par terre. Particulièrement spectaculaire sont des sources aux altitudes inférieures dans l'hiver, quand la sortie de la source saute aux yeux comme endroit sans neige à cause de la température " chaude " de l'eau de la source. On devait faire attention pour éviter la fonte des neiges parce que ils y apparaissent beaucoup des sources périodiques et temporaires.

Un record floristique devrait être réalisé en dépendance de l'altitude, cependant dans le début de l'été. Afin de mémoriser toutes les espèces faunistiques, les recherches devraient être faites deux fois par année, en printemps et en automne.

A cause de leur extension spatiale souvent inférieure, les sources sont difficiles à trouver dans le terrain de sorte que des bonnes cartes sont essentielles. Pour la cartographie même sont recommandable des cartes topographiques au 1/25.000 ou bien des cartes de cadastre au 1/5.000 pour des recherches en échelle microméteorologique. En faisant des cartographies dans la forêt, l'administration responsable des Eaux et Forêts devrait être contactée pour découvrir s'il y en a des cartes forestières (cartes de site ou bien de service) ce qui peut servir possiblement.

A l'exception de l'administration des Eaux et Forêts aussi l'Agence de Bassin peut donner des informations utiles. En Bavière, il y a un département législatif d'eau dans l'administration inférieure pour la protection naturelle qui peut souvent donner des informations aux vieilles sources inutilisées.

Afin de faire une cartographie systématique, on doit toujours suivre la cours de l'eau d'en aval vers en amont, ça veut dire, dans la direction de la source. Seulement de cette manière peut être évité de ne pas remarquer des ramifications du ruisseau de la source figurantes sur la carte. Si on se dirige vers une source venant d'en amont l'orientation peut être bien difficile. Si on n'utilise pas une GPS aussi l'indication exacte du lieu est compliquée à cause des points d'orientation manquants. Souvent, c'est seulement la morphologie du terrain qui puisse donner l'indication décisive sur une sortie d'une source parce que aux environs de la source, ils y sont des dépressions ou rainures dans le terrain par suite de l'érosion régressant. S'il y a une rainure évidente dans la pente au-dessus de la sortie du tuyau on peut supposer que la sortie de la source, maintenant tubée et desséchée, était là-bas antérieurement.

Le temps nécessaire pour la cartographie d'une source dépend principalement de l'habitat et de l'exactitude des cartes utilisées. En s'appuyant sur cartes et littérature, on devrait recevoir une première impression de la région. Puis, l'actualité des cartes doit être confirmée faisant une inspection du terrain. Particulièrement dans le forêt, c'est souvent pas garantit que le cours des eaux et des sentiers correspond avec la carte ce qui complique l'orientation dans le terrain et, donc, augmente la durée de la procédure.

Souvent c'est problématique de limiter la région à examiner. A cause de la structure politique de l'administration, la limitation est faite selon les frontières communales et des districts, par exemple, dans le cas des plans pour le développement des eaux. Quand même, des eaux ne s'arrêtent pas à une frontière tandis que une limitation selon les bassins hydrologiques paraisse être plus raisonnable à l'égard écologique.